La vendeuse au guichet de la gare routière nous apprend ce que c’est de prendre un bus ahorita : il faut courir pour rattraper le bus déjà parti, en bourrant les sacs en soute à l’arrache !

Quelques feuilles de coca pour affronter l’altitude du lac Titicaca

Après une nuitée à Copacabana, on prend un bateau pour la Isla del Sol.

Mariage de la Isla de la Luna et de la Isla del Sol

L’escalier de l’Inca nous épuise dès notre arrivée sur l’île

La Isla del Sol porte bien son nom

En voulant aller randonner vers la partie septentrionale de l’île, on se retrouve vite bloqués. Les personnes qui font barrage nous expliquent qu’à cause d’un conflit de communautés, il n’est pas possible de rejoindre le nord. Cela fait plus d’un mois que ça dure. On se contentera donc de la partie sud de l’île.

C’est pas le Pérou, ha si, c’est le Pérou au loin !

Notre randonnée ayant été largement écourtée, on profite de la vue en terrasse avec un mate de coca.

On décide de rentrer à Copacabana pour visiter les alentours.

Horca del Inca, observatoire astronomique pré-inca

Ici les voitures se font baptiser, ça coûte moins cher qu’une assurance

Après une enquête fastidieuse pour trouver des vélos, qui ne réussit qu’à moitié, on décide de faire le trajet Yampupata-Copacabana dans un seul sens et à pied. On prend donc un trufi de 15 places avec 21 personnes à l’intérieur, conduit par un mineur :laughing:

On croise des familles qui rentrent de pique-nique

Le lac Titicaca fournit un sol propice à l’agriculture, de quinoa entre autres

Sur les islas flotantes, les familles viennent déjeuner et/ou boire un verre au soleil

Après un dîner dans un boui-boui qui n’était pas le meilleur, on finit la soirée dans les ruelles animées de Copacabana en dégustant fideos de chocolate et jugos de linaza chauds !

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